Zuäropße, génie du mal.

Y´a-t-il un intérète à vivre...? Je ne serais jamais posé la question si mon enfance avait été normale. Mais il a fallu que celà arrive. Celui doté du dons de la connaissance en apprend tellement sur lui et sa condition d´humain qu´il devient malheureux. Malheureux à savoir que tout n´a strictement aucun intérèt, ni mème la vie. De ce malheur nait le sentiment de vengeance. Je suis celui qui mèla tant de carnage que l´idée mème d´Enfer ou de Paradie après la vie ne se pose plus. Laisser moi vous bercer dans ma mélancolie. Laisser moi semer dans votre ignorance les principes qui me sont cher.

Appelez moi Zuäropße, génie du mal.

Mon histoire débute vraiment pendant la seconde guerre mondial. Lorsque le Führer Adolphe Hitler la déclara. À l´époque j´étais encore jeune, j´approchais les 23 ans. Je n´avais pas de femme et de toute manière, laissais tout ces supplices de coté. Je menais une vie simple, cerné par les mystères de la vie. Je laissais passé le temps, qui s´éffrene à nous tuer, jour après jour. Je savais que cette simplicité déroutante tomberait dans l´abime et laisserais place à l´horreur de la guerre tót ou tard.
Le 26 Décembre 1939, j´ai été ramassé sur la Hauptstrasse de Berlin, de force. Une petite dizaine de soldat allemand faisait des rondes pour recruter les plus dévoués. Je venais de sortir de chez un ami, j´avais passé Noel avec lui. Je ne l´ai plus jamais revu. Peu de temps après, le 2 Janvier 1940, j´étais sur les champs de cadavres. Parmis les décombres, je voyais mes camarades mourir les uns après les autres et empiler la puanteur qui émanait. Derrière nous siégeait les plus grands gouverneurs. Ils avaient fait leur gloire aux combats. Victorieux de leurs états, ils se prélassaient tranquillement loin des tires. Armés de leurs jumelles, ils scrutaient les traitre et les déserteurs, et n´hésitaient pas à en tuer un si celà se faisait ressentir. Moi qui n´était pas très attaché à l´idée de mort, je fuyais le combat. Les autres me sur nomaient "Der Feigling". Ce titre honnorifique me faisait honte mais m´aidait à survivre. Le dirigeant de notre petite escapade ne m´avait pas encore tué. Il avait foix en moi, et n´osait pas trahir quelqu´un qu´il considérait désormais comme un amis. Alors pour me garder en vie, il m´offrit un jour un cadeau. Un jolie francais, les bras et les jambres accroché pour éviter tout incident. Il se prélassait là comme un asticot qui aurait perdu sa pomme. Je n´avais qu´une chose à faire: tirer. On imagine pas l´atrocité de la chose quand on se retrouve en face. On imagine pas ce que ca peut faire de se dire qu´on prend la vie de quelqu´un comme nous. Je me suis dis que nous étions tous des tortionaires. J´ai alors fermé les yeux, puis appuyé sur le détente. Le sang gicla au sol, tel la lave qui s´échappe à l´emprise de la Terre, tel un ruisseau qui nait, tel ^^^^. Un instant, meme infime, j´étais devenu Dieu, c´était moi qui choisissais qui devait vivre ou mourir. J´avais le pouvoir absolu, celui dont tout homme reve. J´avais peché, et je recommencerais.
Chaque jour passait et je tuais, je tuais pour assoupir ma soif. Je me vengeais de tout, tout ce que l´on avait pu me faire. Je n´avais pas coeur à sourir,

Puis un jour, ce qui devait arriver arriva, une bombe éclata proche de mon logie, D12. Notre maison construite dans les sous-sols boueux des ^^^^ de mines n´est pas faite pour résister très longtemps, alors le ciel s´est effondré, la terre m´ensevelit. J´étais désemparé, tant de chose qui se passait. J´ai pissé les tonnes de bières ingurgité la veille au soir, et finis par m´évanouir dans mes propres déjection, à la voix douce des francais, criant de toute leur force les pires mots. Je me voyais déjà mort. Peut-importe, j´avais donné mon àme aux gagnants. Ce ne pouvait ètre qu´eux qui gagneraient la guerre. Et ils ammènraient mon àme au Paradie, mon àme déchiré de balles.

Le lendemain, après un someil acharné


J´ai pas finis, attendez avant de lire !

Je veux pas être chiant ^^' mais le rapport je le vois pas?